🦒 Pas De Bébés À La Consigne
Bonjour Les crèches et les maternelles sont en danger à cause d'un projet de décret proposé par Nadine Morano (Secrétaire d'Etat chargée de la Famille et de la Solidarité, auprès du ministre du Travail, de la Solidarité et de la Fonction publique) Concrètement, ce décret ferait en fait
Pasde bébés à la consigne !" Avec ce slogan reprenant le nom de leur collectif, les professionnels de la petite enfance ont manifesté, ce 30 mars, en début d’après-midi,
Lorsdu forum de « Pas de bébé à la consigne », le 23 mars à la Bourse du travail de Paris , plusieurs enjeux ont été abordés : L’information clef : en France, un enfant sur deux entre 0 et 3 ans n’a actuellement pas accès à un mode de garde collectif : crèche, jardin d’enfants ; avec de grandes disparités selon les régions et départements ; la
Pasde bébé à la consigne ! vendredi 12 mars 2010. Déferlante de la petite enfance pour le retrait du nouveau décret sur l’accueil collectif. Communiqué de presse. Le gouvernement n’entend pas notre voix Professionnels et parents, nous ne lâcherons pas ! Ce 11 mars 2010 marque la mobilisation d’une ampleur exceptionnelle des professionnels de la petite
Auxéditions , à Toulouse, vous le savez peut-être, on ne plaisante pas avec les bébés. Ils ont même le droit à une collection. Son nom ? . Elle contient pas moins de six rubriques et plus
LUnion Locale CFDT de BAR LE DUC appelle à une Mobilisation générale le 8 avril pour le retrait du nouveau décret sur l'accueil collectif, pour un plan d'urgence pour la petite enfance. CFDT - Pas de bébés à la consigne
s041Nq2. Communiqué de presse du collectif "Pas de bébés à la consigne" dont la FSU Territoriale est membre. Après le drame survenu la semaine dernière dans une micro‐crèche de la ville de Lyon, nous nous associons très sincèrement à la douleur de la famille, et nous rappelons que seuls les services de police et de justice sont fondés à faire la lumière sur cet événement tragique. Tout en faisant preuve de la plus grande prudence quant aux liens à établir entre cela et la situation générale des crèches, le collectif Pas de bébés à la consigne rappelle qu’il alerte depuis des années sur la dégradation des conditions d’accueil des jeunes enfants, notamment en structures collectives, et sur celle des conditions de travail des Le collectif s’est mobilisé depuis 2018 avec de très nombreux collègues pour dénoncer la réforme, dite loi ASAP, des modes d’accueil portée par le gouvernement Macron, qui aboutit encore à déqualifier les métiers de la petite enfance et à déréglementer le secteur. Nous avons fait des propositions, nous avons manifesté mais n’avons jamais été entendus, pas plus que la Commission des 1000 premiers jours qui a également proposé vainement au gouvernement de réhausser les standards d’accueil en crèche. Depuis longtemps, nous affirmons que rester seul en accueil collectif avec un ou plusieurs enfants ne permet pas de garantir la sécurité des enfants et des professionnels. Avant les décrets dérogatoires adoptés durant la crise sanitaire, seules les micro‐crèches avaient cette possibilité rester seul jusqu’à 3 enfants, aujourd’hui toutes les structures collectives peuvent utiliser cette disposition. Par ailleurs les conditions d’accueil sont devenues extrêmement compliquées manque de personnel, dégradation des taux d’encadrement, recours à du personnel peu qualifié, possibilité d’accueil en surnombre des enfants tous les jours. Ces situations du quotidien conduisent les au bord de pratiques qu’ils jugent eux‐mêmes potentiellement maltraitantes, selon de nombreux témoignagescf. S’il est bien évident que la responsabilité civile et pénale est engagée pour tous les professionnels du secteur et que chacun doit répondre de ses actes, les questions se posent quant aux responsabilités des pouvoirs publics et à celles des gestionnaires des établissements d’accueil, de garantir une réglementation et son application pour offrir des conditions d’accueil aux jeunes enfants, en toute sécurité psychique et physique dans tous les modes d’accueil. Documents associés
La grogne ne faiblit pas dans les crèches à propos de la réforme des modes d’accueil du jeune enfant prévue par la loi d’Accélération et de Simplification de l’Action Publique ASAP portée par Adrien Taquet, Secrétaire d’État à l’Enfance et aux syndicats des professionnels de la petite enfance, ainsi que le collectif “Pas de bébé à la consigne” ont fait grève et manifesté ce mardi 2 les grandes lignes, cette réforme va faire passer à 12 enfants la capacité d’accueil maximale des micro-crèches, à un taux d’encadrement unique d’un professionnel pour 6 enfants contre actuellement 1 pour 5 enfants qui ne marchent pas et 1 pour 8 enfants qui marchent, et à 5,5 m2 au lieu des 7 m2 recommandés la surface d’accueil par enfant dans les grandes villes et zones fait, cette réforme “permettra de créer, sans délai, des places de crèches supplémentaires”, indique le gouvernement. Seulement voilà, pour les professionnels du secteur, ces mesures vont à l’encontre de l’intérêt de l’enfant, mais aussi à l’encontre des recommandations du rapport de la Commission des 1 000 jours, commandé par le gouvernement.“Le gouvernement annonçait une loi de simplification et d'harmonisation il nous offre la déréglementation aux dépens de la qualité d'accueil des tout‐petits”, déplore le collectif “Pas de bébé à la consigne”. Ce dernier détaille que la mesure prévoit 15% d'enfants accueillis en surnombre en crèche tous les jours. Ainsi, “un établissement de 20 places pourrait accueillir jusqu’à 23 enfants, pour 40 places jusqu’à 46 enfants, et pour 60 places jusqu’à 69 enfants”. “Nous craignons de ne plus pouvoir disposer demain de la meilleure disponibilité pour vos enfants et de ne plus répondre à votre attente”, indique le collectif dans une lettre adressée aux mesures font en revanche l’unanimité ou presque, comme le contrôle des antécédents judiciaires de l’ensemble des professionnels de l’accueil du jeune enfant, ou encore la généralisation de temps de réflexion sur les pratiques professionnelles, à raison d’une demi-heure par mois dans les crèches encore insuffisant pour le collectif “Pas de bébé à la consigne”, et à titre expérimental pour les assistantes avez envie d’en parler entre parents ? De donner votre avis, de partager votre témoignage ? On se retrouve sur
l'essentiel Une centaine de professionnels de la petite enfance se sont rassemblés, ce mardi 14 janvier, devant la préfecture à Rodez, à l'appel de la CFDT. Les agents des crèches, haltes-garderies et les assistantes maternelles refusent les mesures qui découleraient de la prochaine ordonnance et décrets, actuellement à l'étude. "Les bébés ne sont pas des sardines", "les bébés ne sont pas du bétail"..."Pas de bébés à la consigne", des phrases chocs, en forme de slogans. Les professionnels de la petite enfance craignent des conditions d'accueil, au rabais, des chères têtes blondes. Pour cela, ils se sont rassemblés, ce mardi 14 janvier, devant la préfecture aveyronnaise. Travaillant indifféremment au sein des crèches et des haltes-garderies, mais également des assistantes maternelles, redoutent la prochaine ordonnance et ses décrets, sur lequel planche actuellement le gouvernement. Pour les syndicats dont la CFDT Inerco, la CGT et FO, ainsi que le mouvement national "Pas de bébés à la consigne" les conditions d'accueil des petits seraient assouplies par l'ordonnance. "Nous voulons savoir quel avenir nous attend et comment allons-nous nous occuper des enfants ? On n’entend pas les mettre dans une pièce et fermer la porte derrière", explique Gaël Lafarge, secrétaire départemental adjoint CFDT. Et d'ajouter "les structures d'accueil sont déjà saturées. Aujourd'hui, la capacité est de 110%. Le gouvernement voudrait la faire passer à 115% !". Les manifestants craignent également la dévalorisation des diplômes du personnel.
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